La prise en compte de la volonté des personnes malades et/ou en fin de vie en France est loin d’être satisfaisante.
La loi prévoit pourtant : directives anticipées, désignation d’une personne de confiance, possibilité d’une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès. La mise en œuvre de ces droits demeure insuffisante, et souvent aléatoire parce que prise par le seul médecin.
Il faut renforcer l’information et augmenter les moyens humains et financiers pour l’accompagnement de la fin de vie. Il faut permettre aux personnes atteintes d’une maladie incurable et/ou confrontées à des douleurs insupportables, ou n’acceptant pas l’invalidité que leur impose la maladie, de choisir les modalités de leur fin de vie : soins palliatifs et/ou aide active à la mort.
Vous trouverez ici les échos de toute notre activité : engagement pour défendre les droits de toutes et tous, actions pour la défense des libertés individuelles et collectives, une activité indissociable de notre projet de transformation sociale.Des remarques, des questions ? Contactez nous à : droits.libertes@snes.edu